Percussions entêtantes, litanies, voix et violons multipliés ou distordus, l’opus passe et nous fait passer par tous les états que suscite la nuit (rêves, phobies, hallucinations, fantasmes). Les rythmes primitifs invitent à danser, tandis que les boucles et les refrains hypnotiques restent sombres et romantiques. De retour sur scène à Marseille, le duo devrait valoir le coup d’œil autant que celui d’oreille…